George Pimentel/Getty Images for Sundance Film Festival
Poots + Cage + Sion : une association " kamoulox " que l'on n'a franchement pas vu venir, mais qui nous allèche désormais au plus haut point...
Engoncé dans un cinéma d'exploitation bis à forte tendance Z, qui lui assure certes des cachets conséquents mais qui entâche sacrément une carrière jusqu'à l'aube des années 2010, franchement très recommandable, ce bon vieux Nicolas Cage trouve tout de même parfois le bon goût de se rappeler quel grand acteur il fut jadis, par la force de quelques productions plutôt alléchantes.
Présent à Cannes l'an dernier pour soutenir l'hypnotique Mandy de Panos Cosmatos (Beyond the Black Rainbow) avec la follement mésestimée Andrea Riseborough, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, le bonhomme était également là pour vendre quelques-uns de ses futurs projets au marché du film Cannois.
Et si certains semblaient s'inscrire dans la veine de ses précédents essais (211 avec son rejeton Weston, Kill Chain de Ken Sanzel), d'autres en revanche, attiraient franchement notre curiosité, comme Betwwen Worlds de Maria Pulera (Falsely Accused) mais surtout Prisoners of The Ghostland de.. Sono Sion !Et oui, le cultissime réalisateur nippon fera bien de Fucking Nic le héros de son premier long en terre US, dit film qui
est annoncé comme un film d'horreur et d'action post-apocalyptique, et qui pourrait bien être le film le plus barré de la filmo de Cage - rien que ça." Quand un criminel notoire, Hero (Cage), est envoyé pour sauver une jeune femme enlevée qui a disparu dans un sombre univers surnaturel, ils doivent mettre fin à la malédiction qui les lie et échapper aux mystérieux revenants qui régissent le " Ghostland " ".
Dite jeune femme qui sera logiquement la craquante Imogen Poots si l'on en suite le Hollywood Reporter ce week-end.
Le tournage pourrait débuter dès ce printemps, et dire que l'on a hâte est un put*** d'euphémisme...