Wall.E

Affiche miniatureCinéphile du jour, bonjour !!! Après vous avoir parlé de "Burn-E" et "Presto" deux des derniers courts métrage en date des studios Pixar, il y avait fort à parier que j'allais vous parler du long métrage qui les accompagné à savoir "Wall.E". L'ayant enfin découvert il y à quelques jours de cela, je vais pouvoir y consacrer un billet alors si vous souhaitez savoir deux trois petites choses au sujet de ce robot et connaître mon avis sur le film, il vous suffit juste de cliquez sur "Lire la suite"...
"Wall.E !!!!"
Il s'agit d'un film d'animation américain qui est sorti en salles le 30 juillet 2008 (le film est sorti aux Etats-Unis le 27 juin 2008) et dont la durée est de 1 heure 37.
"Wall.E" est un film écris et réalisé par Andrew Stanton.
Le film à été produit par Jim Morris et Lindsey Collins.
La bande originale du film à été composée par Thomas Newman.
Film tous publics lors de sa sortie en salles.
Quelques vidéos sur le film

Site officiel du film (français)

Site officiel du film (anglais)


Wall.E

Eve

Wall.E et Eve

Wall.E sont en réalité les initiales de Waste Allocation Load Lifter Earth-Class, littéralement "Compacteur terrien de déchets". Quant au robot Eve, il s'agit de Extra-terrestrial Vegetation Evaluator soit "évaluateur de végétation extraterrestre".
L'idée de "Wall.E" est née dans l'esprit d'Andrew Stanton et Peter Docter ("Monstres & Cie") au milieu des années 90. A l'époque, le tandem planche sur ce petit personnage, convaincu de son potentiel, mais sait pertinemment que le financement pour un long métrage sera difficile à obtenir, notamment en raison des caractéristiques de leur droïde (un héros-objet "muet" ne s'exprimant qu'à travers ses mouvements et ses bruitages). Ce n'est qu'en 2001, alors qu'il planche sur "Le Monde de Nemo", que Stanton reprend l'écriture, avec la bénédiction de Peter Docter. Il faudra encore sept longues années de travail (et donc près de quinze ans au total) pour que le projet aboutisse !
Dès la première bande-annonce du film, les spectateurs sont tombés sous le charme du timbre robotique de Wall.E. Une "voix" à mettre au crédit d'un ingénieur du son de génie nommé Ben Burtt. On lui doit, entre autres, tous les bruitages de la saga "Star Wars" depuis 1977... et notamment ceux de R2-D2 et des autres droïdes qui peuplent la galaxie de George Lucas. Il fallait bien un tel spécialiste pour Wall.E...
"Wall.E" est le troisième long métrage (et le troisième film Pixar) réalisé par Andrew Stanton, après "1001 Pattes" (1999, co-réalisé par John Lasseter) et "Le Monde de Nemo" (2003, co-réalisé par Lee Unkrich). Co-scénariste de la plupart des productions Pixar ("Toy Story", "1001 Pattes", "Toy Story 2", "Monstres & Cie", "Le Monde de Nemo"), Andrew Stanton a écrit seul le script de "Wall.E". Acteur à ses heures perdues, il a également campé vocalement l'Empereur Zurg dans "Toy Story 2", la tortue Crush dans "Le Monde de Nemo" et la voiture Fred dans "Cars".
Plusieurs clins d'œil à la marque informatique Apple parsèment le film. Outre le lecteur multimédia I-pod que Wall-E a conservé chez lui, l'alerte sonore indiquant que ses batteries sont rechargées est celle du démarrage des ordinateurs Macintosh. Enfin, le courbes du robot EVE ont été imaginées avec l'aide de Jonathan Ive à qui l'on doit le design de l'I-pod... Le lien entre Pixar et Apple est loin d'être anodin puisque Steve Jobs, fondateur d'Apple computer, fut tout simplement l'un des co-créateurs de Pixar en 1986.
Le film sur lequel Wall-E travaille sa chorégraphie est "Hello Dolly !" de Gene Kelly. La chanson "Put On Your Sunday Clothes" qui ouvre le film est aussi extraite de la comédie musicale.
"Wall.E" contient plusieurs références au film "2001 : l'odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick : l'œil de l'auto-pilote de l'Axiom ressemble à s'y méprendre à l'inquiétant ordinateur de bord HAL 9000 de 2001, la musique utilisée lorsque le capitaine décide de se marcher est "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, célèbre pour son utilisation dans 2001. Enfin le petit cafard de Wall.E se prénomme également HAL.
Jeremy Lasky, directeur de la photographie déclare : "Nous avons développé notre technologie caméra et lumière pour donner l'impression à l'image qu'il y a une caméra et un objectif qui filment l'action. Nous avons utilisé un format d'image large et une faible profondeur de champ pour donner une vraie richesse à la photo. Vous pourrez remarquer des fonds flous, et des parties de décors plus ou moins nettes dans certains plans afin de créer des composition qui font presque penser à des aquarelles. (..) Nous avons aussi utilisé beaucoup de plans à la caméra à l'épaule ou à la Steadicam, surtout dans l'espace, afin de donner au public le sentiment que tout cela se produit réellement, qu'il y a vraiment un vrai robot qui se déplace dans un vrai monde."
C'est l'actrice Sigourney Weaver qui prête sa voix à l'ordinateur de bord du vaisseau Axiom dans la version originale. Un choix plutôt ironique quand on connaît tous les problèmes qu'elle a rencontrés avec ce genre d'ordinateur dans le film "Alien, le huitième passager".
"Wall.E" est le tout premier film des studios Pixar à utiliser des séquences tournées en "live".
Sur les premières bandes-annonces, on pouvait entendre l'une des musiques les plus célèbres de l'histoire du cinéma...qui n'est autre que le légendaire morceau du film "Brazil" de Terry Gilliam, composé par Michael Kamen, décédé en 2003.
Un des grands sujets de discussion à propos de la conception du personnage de Wall.E a été de savoir s’il devait ou non avoir des coudes. Le superviseur de l’animation Steve Hunter explique : "Au début, nous avions conçu Wall.E avec des coudes pour lui permettre de plier les bras. En tant qu’animateurs, nous nous étions battus pour qu’il puisse toucher son visage, s’accrocher à un vaisseau spatial et faire une large gamme de mouvements. Avec le recul, nous nous sommes aperçus que cela ne collait pas. Le modèle Wall.E a été conçu pour mettre des ordures dans son ventre et les compacter. Pourquoi aurait-il besoin de coudes ? Cela n’avait aucun sens. Avec l’aide d’Andrew et sur une très bonne idée d’Angus Maclane, nous avons donc remplacé ses coudes par des rails de chaque côté, sur lesquels il fait glisser ses bras pour les positionner différemment et avoir une gamme de mouvements plus ample. Ce système le rend encore plus crédible en tant que machine. Cette histoire de coudes peut paraître futile, mais c’est le genre de détail qui fait la différence entre un personnage correct et un excellent personnage."
Malgré la relative simplicité de ses mouvements, l’animation de Wall.E s’est révélée très difficile. Le superviseur de l’animation Alan Barillaro déclare : "Les contrôles d’animation de Wall.E sont très nombreux, il y en a une cinquantaine rien que pour sa tête. Ce n’est pas un être biologique, tous ses mouvements doivent être ramenés à leur plus simple expression pour être efficaces. Quand on confiait une scène avec Wall.E aux animateurs, ils voulaient toujours lui faire faire un tas de trucs comme bouger la tête dans tous les sens. Cela partait d’un bon sentiment mais Wall.E devenait trop expressif et trop humain. Il fallait souvent leur rappeler de rester le plus simples et basiques possible avec l’animation. Avec ce film, rester simple était la meilleure chose à faire."
A propos d'Eve, Andrew Stanton déclare : "L’animation d’Eve a aussi été un véritable défi parce qu’avec seulement deux yeux qui clignotent et un corps composé de quatre parties mobiles, le moindre de ses mouvements devait être particulièrement subtil et juste. Avec son look très futuriste, Eve est la quintessence de l’élégance, de la simplicité et de la grâce. Comme Eve est une « demoiselle », nous avons choisi de lui donner des lignes douces et homogènes qui lui confèrent un charme très féminin."
Le directeur de l’animation Angus Maclane explique : "Alors que Wall.E est un vieux modèle qui se déplace grâce à ses moteurs, ses engrenages et ses chenilles, Eve est un robot high-tech ovoïde qui glisse dans les airs grâce à un système électromagnétique. Chaque image, chaque plan où elle se déplace a été travaillé pour le rendre plus agréable à l’œil. Elle a dans ses mouvements cette grâce et cette élégance auxquelles on s’attend chez un robot ultra-perfectionné."
Steve Hunter ajoute : "Tous les changements d’axe, les angles, et même la manière dont sa tête penche quand elle tourne devaient se faire d’une façon bien précise pour avoir l’air naturels. Comme elle n’a que deux yeux et quatre parties mobiles, tout devait être très subtil. Nous avons longuement discuté de sa façon de bouger les bras. Pour trouver des gestes et des poses qui expriment ses émotions, nous avons travaillé en repartant du dessin. Le résultat est fascinant : quand on la regarde, on a vraiment le sentiment de comprendre toutes ses pensées."
Pour préparer le film, l’équipe d’animation Pixar s’est rendue sur le terrain, visitant des stations de recyclage pour observer les broyeurs d’ordures géants et autres machines au travail. Elle a étudié de vrais robots de près dans les locaux du studio, et a regardé quantité de vieux films (depuis des films muets jusqu’à des films de science-fiction) pour mieux étudier les modes d’expression au cinéma. En respectant la devise du studio, "la vérité est dans le sujet étudié", les animateurs ont approché chaque robot comme une chose ayant été créée pour accomplir une fonction spécifique, et ont respecté les lois physiques commandant leurs mouvements en fonction de leur design, tout en créant des "interprétations" ayant de la personnalité. Alan Barillaro et Steve Hunter ont supervisé l’animation du film, tandis qu’Angus Maclane se chargeait de la direction de l’animation.
Pour l’aspect visuel de "Wall.E", le chef décorateur Ralph Eggleston (à qui l’on doit notamment les décors de "Les Indestructibles", "Le Monde De Némo" et de "Toy Story"), a puisé son inspiration dans des schémas de la NASA des années 50 et 60, et des concepts graphiques originaux réalisés par les Imaginieurs Disney pour le Tomorrowland de Disneyland (l’équivalent de Discoveryland). Il se souvient : "Notre approche esthétique n’a pas consisté à nous demander à quoi ressemblera effectivement notre futur, mais à quoi il pourrait ressembler, ce qui est bien plus intéressant. Tous les personnages et les moindres détails du décor ont été conçus de façon à donner aux spectateurs le sentiment de voir un monde qui existe vraiment. Nous voulions que les personnages et leur monde soient réalistes, pas en termes d’apparence, mais en termes de crédibilité."
Le budget de "Wall.E" s'est élevé à 180 millions de dollars. Le film à totalisé en France lors de sa sortie 3 228 434 entrées.
En 2009, "Wall.E" reçu l'Oscar du meilleur film d'animation tandis qu'il fut nominé dans les catégories meilleur scénario original, meilleur son, meilleure musique, meilleure chanson et meilleur montage sonore. La même année, il remporta le Golden Globe du meilleur film d'animation et fut nominé dans la catégorie meilleure chanson. Le film gagna aussi le BAFTA du meilleur film d'animation et été aussi nominé dans la catégorie meilleur son et meilleure musique.
Dans la tradition de Pixar, un court-métrage est présenté avant chaque film. Cette fois-ci, c'est "Presto", mettant en scène un prestidigitateur, son chapeau magique et son lapin.
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Avec les voix en version originale de :

Ben Burtt (Wall.E / M.O. / Voix spéciales), Elissa Knight (Eve), Jeff Garlin (Le Commandant), Fred Willard (Shelby Forthright, président de BnL), John Ratzenberger (John), Kathy Najimy (Mary), Sigourney Weaver (L'ordinateur de bord), Paul Eiding (Voix additionnelles)...
Avec les voix en version française de :

Philippe Bozo (Wall.E), Marie-Eugénie Maréchal (Eve), Emmanuel Jacomy (Le Commandant), Hervé Jolly (Shelby Forthright, président de BnL), Patrick Osmond (Auto), Mark Lesser (M.O.), Jean Francois Aupied (John), Brigitte Virtudes (Mary), Pascale Clark (L'ordinateur de bord)...
Le synopsis :

Wall.E est le dernier être sur Terre et s'avère être un... petit robot ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, Wall.E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul...
Cependant, sa vie s'apprête à être bouleversée avec l'arrivée d'une petite "robote", bien carénée et prénommée Eve. Tombant instantanément et éperdument amoureux d'elle, Wall.E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu'Eve est rappelée dans l'espace pour y terminer sa mission, Wall.E n'hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite... Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie...
Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l'univers et vivre la plus fantastique des aventures !
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Une nouvelle fois, j'ai enfin vu un film dont j'avais entendu parler à de maintes reprises mais que je n'avais jamais eu l'occasion de visionner. C'est pas que j'en avais pas envie c'est juste que l'occasion ne s'était jamais réellement présenté puis le risque avec ces films dont on vous dit toujours le plus grands bien, c'est d'être au final déçu à force d'avoir placé la barre de nos attentes un peu trop hautes. Ai je été déçu par "Wall.E" ?
Je dois bien avouer que non. Je faisais confiance au studio Pixar mais j'avais quand même comme principale crainte de m'ennuyer ferme devant un film dont la majorité de l'intrigue est dépourvue de dialogues mais comme toujours, Pixar à su en tirer profits pour nous tirer une histoire riche en émotions et en humour. Le scénario aborde plusieurs thèmes important le tout sans jamais adopté un ton moralisateur qui aurait pu plomber l'ensemble. Premier thème abordé et pas des moindres : l'écologie. Fable à la main verte, le film pointe du doigt les désastre que peut avoir sur notre environnement le fait de ne pas s'occuper de notre planète. Ici, pas de cataclysme mais l'homme à juste tout simplement baisser les bras et décidé de s'exiler dans l'espace laissant la planète bleue livrer à elle même avec comme seul et unique renfort un robot (notre principal héros donc ;-) ). La plante symbolise une sorte de Saint Graal qui redonne espoir et nous fait prendre une certaine prise de conscience en nus disant qu'il n'y à pas de recette miracle. Si on veut préserver la Terre, il faut l'entretenir et la naissance de cette plante, si on veut qu'elle se multiplie et bien il faut en prendre soin. Je paraphrase bien sûr et il y à sans doute une interprétation plus profonde dont on peut longuement débattre mais je pense que la principale idée dégagé du film est là à savoir qu'il est important de préserver la vie sur Terre. D'ailleurs, si on se laisse aller, il y à des risques, risques qui sont abordés dans le deuxième thème du film qui pointe du doigt une société nombrilisque qui ne prend même plus la peine de regarder son voisin. La facilité aidant, le film pointe du doigt un mode de vie qui ne nous fait pas regarder plus loin que le bout de notre nez. D'ailleurs, la plupart des humains présent dans ce film sont étonnés de ce qu'ils peuvent voir en ouvrant les yeux et dès qu'ils quittent leurs écrans font tout de suite des rencontres qui les rendent plus humains. Guidés dans un chemin tracés sans courbes, ils ont l'air aussi robotisé que les robots qui sont sensé leur rendre la vie plus facile et c'est lorsqu'ils en prennent conscience et qu'ils décident de se prendre en main qu'ils deviennent plus humains. Le film aborde aussi le thème de la consommation avec ses nombreuses publicités qui les contrôle en quelques sortes et pointe du doigt aussi certains risques comme l'obésité où alors le fait de tous laissé faire par des machines. Loin d'aller dans une version animé d'un quelqconque "Terminator", le scénario montre les risques qu'il peut y avoir à laisser prendre le contrôle par des machines. Avec humour et fantaisie au final, le plus humain de tous est sans nul doute notre petit héros, Wall.E qui malgré sa solitude va dégager le plus de sentiments et c'est d'ailleurs grâce à lui que tous (Eve dans un premier temps puis tous les humains de l'Axiom) font réapprendre à vivre et à retrouver une certaine humanité. Bien sûr, tout ceci n'est que mon interprétation et elle est peut être erroné. Il y a d'autres éléments que le film développe mais en tout cas, j'aime cette vision et avec sans jamais nous ennuyer, le film nous transporte à travers cette fable écologique, humaine et romantique.
Vocalement, je ne vais pas m'attarder sur la prestation des différents doubleurs que ce soit en version originale ou en version française car l'intérêt dans ce film n'est pas là je trouve cependant, quoiqu'il en soit il est agréable d'entendre que chacun à fait de son mieux pour donner vie à son personnage à commencer par les doubleurs de Wall.E et de Eve qui même si ils n'ont pas beaucoup de dialogues et que leurs voix ont été un peu modifiés ont su rester dans la continuité du film en faisant en sorte que l'on ressentent bien les différentes émotions de leurs personnages respectifs. Les voix des personnages humains sont bien choisis aussi et chacun s'en sors bien mais c'est surtout les voix des robots qui ont bénéficié d'un plus gros travail je trouve et qui de ce fait réussisse à donner une certaine crédibilité au film.
Du côté de l'animation, pas de réelle surprise. Pixar nous livre là un très grand cru et nous prouve une nouvelle fois à quel points ils se bonifient avec le temps. A chaque sortie d'un de leurs films, on se dit qu'il ne réussiront pas à faire mieux et à chaque fois, il nous prouve le contraire. Du coup, on ne ressens pas de monotonie et on à l'impression de découvrir un univers totalement nouveau. Sous la direction de Andrew Stanton, le film possède une multitude de dessins d'une telle beauté que chaque plans est un véritable tableau qui nous émerveille les yeux. Un grand soin à été apporté à chaque élément du personnage principal au petit grain de sable sur Terre qui va s'envoler avec le vent. Rien n'est délaissé et chaque élément est traité avec le même plaisir et la même qualité. Tel un ballet, la bande originale signée Thomas Newman nous émerveille quand à elle les oreilles en étant un élément primordial de ce film. Remplaçant les dialogues, la musique du film permet de faire passer encore mieux les émotions aux spectateurs. Jusqu'au générique de fin, la musique nous emporte dans ce film et contribue largement à la réussite générale de l'œuvre. Le film ne manque pas non plus de différents clins d'œils notamment au "2001 : L'Odysée de l'espace" de Stanley Kubrick qui rende le film encore plus plaisant et accessible à tous avec un rythme constant du début jusqu'à la fin.
Au final, je regrette un peu de ne pas avoir vu "Wall.E" en salles car sur grand écran, la beauté visuel de ses tableaux doivent avoir un rendu encore plus impressionnant. Une nouvelle fois, Pixar nous donne un très bon long métrage d'animation et nous prouve encore, comme si ils en avaient besoin, qu'ils restent les maîtres incontestés en la matière. Ce n'est pas mon préféré du studio, mon enfance penchant pour un "Toy story", mais il se hisse sur le podium avec maestria. Ce film ravira les jeunes comme les moins jeunes qui le temps d'un film seront face à un divertissement de grande qualités. A voir sans modération.
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La musique du film :

  1. Put On Your Sunday Clothes - Michael Crawford
  2. 2815 A.D.
  3. WALL-E
  4. The Spaceship
  5. EVE
  6. Thrust
  7. Bubble Wrap
  8. La Vie En Rose - Louis Armstrong
  9. Eye Surgery
  10. Worry Wait
  11. First Date
  12. EVE Retrieve
  13. The Axiom
  14. BNL
  15. Foreign Contaminant
  16. Repair Ward
  17. 72 Degrees and Sunny
  18. Typing Bot
  19. Septuacentennial
  20. Gopher
  21. WALL-E's Pod Adventure
  22. Define Dancing
  23. No Splashing No Diving
  24. All That Love's About
  25. M-O
  26. Directive A-113
  27. Mutiny!
  28. Fixing WALL-E
  29. Rogue Robots
  30. March of the Gels
  31. Tilt
  32. The Holo-Detector
  33. Hyperjump
  34. Desperate EVE
  35. Static
  36. It Only Takes a Moment - Michael Crawford
  37. Down to Earth - Peter Gabriel
  38. Horizon 12.2

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Bonus :

Petit bonus pour finir avec ce billet juste avant de vous mettre les différentes affiches, voici les paroles de la chanson phare du film interprété par Peter Gabriel à savoir "Down to Earth" :
Did you think that your feet had been bound
By what gravity brings to the ground?
Did you feel you were tricked
By the future you picked?
Well, come on down
All those rules don't apply
When you're high in the sky
So, come on down
Come on down
We're coming down to the ground
There's no better place to go
We've got snow up on the mountains
We've got rivers down below
We're coming down to the ground
We hear the birds sing in the trees
And the land will be looked after
We send the seeds out in the breeze
Did you think you'd escaped from routine
By changing the script and the scene?
Despite all you made of it
You're always afraid
Of the change
You've got a lot on your chest
Well, you can come as my guest
So come on down
Come on down
We're coming down to the ground
There's no better place to go
We've got snow up on the mountains
We've got rivers down below
We're coming down to the ground
We hear the birds sing in the trees
And the land will be looked after
We send the seeds out in the breeze
Like the fish in the ocean
We felt at home in the sea
We learned to live off the good land
We learned to climb up a tree
Then we got up on two legs
But we wanted to fly
When we messed up our homeland
We set sail for the sky
We're coming down to the ground
There's no better place to go
We've got snow up on the mountains
We've got rivers down below
We're coming down to the ground
We hear the birds sing in the trees
And the land will be looked after
We send the seeds out in the breeze
We're coming down(down)
Coming down to Earth (down)
Like babies at birth (down)
Coming down to Earth (down to the earth)
We're gonna find new priorities (down)
These are extraordinary qualities (down)
Down down to earth
We're coming down to the ground
There's no better place to go (down to earth)
We've got snow up on the mountains
We've got rivers down below
We're coming down to the ground
We hear the birds sing in the trees
And the land will be looked after
We send the seeds out in the breeze
We're coming down to the ground
There's no better place to go
We've got snow up on the mountains
We've got rivers down below
We're coming down to the ground
We hear the birds sing in the trees
And the land will be looked after
We send the seeds out in the breeze
We're gonna find new priorities
These are extraordinary qualities
3x(To find on earth)fades out

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