The Fabelmans

Et si nous étaient contés l'enfance de Spielberg ? Ah, il fallait bien que ce grand réalisateur américain (un des plus grands avec James Cameron) nous fasse son 400 Coups... Résutat, bien que le film ait été injustement boudé par le public US (qui lui préfère un Indiana Jones), les frenchies que nous sommes avons fait part belle à The Fabelmans, récit ou plutôt long-métrage sur la génèse du metteur en scène. Et on s'amuse pà voir les allusions qu'il parsème dans le film ; allant de Duel, son premier film, en passant par E.T et bien sûr Indiana Jones. Steven Spielberg nous montre alors ses parents (avec sa mère deboussolée), son lycée (où - spoiler - il souffre d'antisémitisme) mais surtout l'achat de ses premières caméras, ses tous premiers films super 8. Et, nous, spectateurs sommes émus de cet amour pour le cinéma, amour qui transpire tout le long du film jusqu'à atteindre la toute dernière scène qui sera - je pense - étudiée dans toutes les écoles de cinéma à l'avenir. Dans cette scène - en effet - ou plutôt séquence, le futur cinéaste croise un certain John Ford qui lui enseigne en trois répliques bien senties comment faire de bons films....

Pour finir, The Fabelmans est à voir rien que pour cette séquence finale... En bref, un régal de film pour tous les cinéphiles, en herbe ou pas !

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