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Un potentiel beau drame ou Wahlberg y parcourt l'Amérique pour sensibiliser les gens face aux dangers de l'intimidation scolaire, qui a causé la mort de son fils homosexuel.
Mark Wahlberg n'est pas que bon à aligner les prestations musclées dans des actionners musclés, il l'a souvent démontré par le passé - souvent chez Peter Berg -, et il va s'échiner à continuer de le faire, en portant des projets dramatiques résolument plus riches thématiquement que ses empoignades badass.
Comme Joe Bell de Reinaldo Marcus Green, qui raconte l'histoire vraie intime et émouvante d'un père de l'Oregon -Joe Bell donc - qui rend hommage à son fils adolescent gay Jadin, en se lançant dans une marche autoréflexive à travers l'Amérique pour parler avec son cœur aux citoyens du cœur des coûts réels et terrifiants de l'intimidation - notamment scolaire.
Il met également en évidence comment Joe imagine son fils l'accompagner tout au long du voyage.
Avec un sacré casting vedette (Wahlberg, Connie Britton, Reid Miller, Maxwell Jenkins et Gary Sinise), et des plumes sûres au scénario - Diana Ossana et Larry McMurtry (Brokeback Mountain) - le film est attendu dans les salles obscures US pour le 23 juillet prochain, ou il fera notamment face à Snake Eyes de Robert Schwentke et Old de M. Night Shyamalan...
