Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut Lumière

Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut Lumière

Du mercredi 25 au samedi 28 avril 2018

Regard Sud et l’Institut Lumière

Présentent le Festival Cinémas du Sud

A l’Institut Lumière


Informations pratiques Sur le site de l’Institut Lumière de Lyon et Sur le site du Regard Sud

Télécharger le programme du Festival Cinémas du Sud 2018 – 18ème édition

Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut Lumière

La 18ème édition du Festival Cinémas du Sud a l’honneur d’être parrainée par Costa-Gavras, Président de la Cinémathèque française et cinéaste majeur, engagé et passionnant, auteur de Z (Oscar du meilleur film étranger), Missing (Palme d’Or), de Section spéciale, Music Box, Amen et Le Couperet.

Le festival présente un panorama du cinéma contemporain du Maghreb et du Moyen-Orient. Cette année, focus sur des cinématographies émergentes de ces territoires.

Ces œuvres rares, car peu diffusées dans les circuits habituels, seront l’occasion d’échanges entre le public lyonnais et les réalisateurs invités pour rencontrer les réalités de ces pays si lointains et si proches à la fois.

Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut Lumière

Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut Lumière

Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut Lumière

Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut LumièreQuatre jours pour offrir un panorama du cinéma contemporain du Maghreb et du Moyen-Orient, à travers des oeuvres rares, fictions et documentaires, avec la présence exceptionnelle de leurs réalisateurs.

En ouverture du Festival, Personal Affairs, sélectionné à Un Certain Regard au Festival de Cannes 2016, premier film de Maha Haj, israélo-palestinienne. Inspiré de son histoire personnelle, cette comédie met en scène les tracas d’une famille palestinienne dispersée entre Nazareth, Ramallah et Stockholm.

Une soirée spéciale sera consacrée à la Tunisie, pour célébrer le 50ème anniversaire du cinéma tunisien, avec deux films :
Mustafa Z de Nidhal Chatta – Prix d’interprétation masculine des Journées Cinématographiques de Carthage 2017 pour le rôle de l’acteur Abdelmoneem Chwayet. L’histoire retrace avec humour 24 heures de la vie d’un tunisien lambda. Regard ironique et distancié pour raconter la société tunisienne post-révolution.

Puis, découverte de Whispering Sands, le dernier film du talentueux Nacer Khemir (qui fouille les mythes pour mieux interroger l’avenir). Auteur, multi-primé pour ses films Les Baliseurs du désert et Le Collier Perdu de la Colombe, Nacer Khemir projette un pont entre Nord et Sud, Orient et Occident.

Côté documentaires, nous présenterons deux films, où se distinguent des réalisateurs de talents.
Le premier, Atlal, « Ruines » en arabe, du cinéaste algérien Djamel Kerkar. Une discipline poétique qui consiste à se tenir face aux ruines et à faire ressurgir sa mémoire, ses souvenirs du visible vers l’invisible. Le film donne la parole à l’ancienne génération qui a connu la guerre d’indépendance et le terrorisme des années 90 mais accorde également une grande place aux jeunes.
Puis de Syrie, A Memory in Khaki d’Alfoz Tanjour. Un cri du coeur basé sur le récit personnel de l’auteur, mêlé à ceux d’autres personnages syriens. Le film met en lumière des années de silence, de peur et de terreur du pays. Avec, en toile de fond, l’explosion de la société syrienne et les prémices de sa révolution.

D’Egypte, nous vient Green de Mohammed Hammad – Prix du meilleur réalisateur au Festival de Dubai 2017. Le film aborde le conservatisme au sein de la société égyptienne et la question de l’émancipation de la femme face aux traditions patriarcales.

Cap au Maroc, avec Volubilis, du cinéaste marocain Faouzi Bensaïdi – Tanit de bronze aux Journées Cinématographiques de Carthage 2017, dans lequel l’histoire d’amour d’un jeune couple marié tourne brutalement à la tragédie grecque. Observation d’une société où la mondialisation a pris le dessus. Egypte-Cactus-Flower-Still3---copie

A quoi ressemblent 24 heures dans la vie de trois adolescents de Beyrouth? Le jeune cinéaste libanais Nadim Tabet répond par son film One of these days. Il y est question d’amour, de sexe et d’espoir dans un pays au bord du chaos.

Enfin, en clôture du Festival, nous projetterons Cactus Flower de la cinéaste égyptienne Hala Elkoussy, qui signe ici un premier film très prometteur – Prix de la meilleur actrice au Festival de Dubaï 2017

Du 25 au 28 avril 2018, Regard Sud à l’Institut Lumière

Programmation (en présence des réalisateurs et réalisatrices) :

[MERCREDI 25 AVRIL]
20h – Personal Affairs de Maha Haj (Israël-Palestine)
Séance suivie d’un cocktail

[JEUDI 26 AVRIL] – Soirée spéciale 50 ans du cinéma tunisien
19h – Mustafa Z de Nidhal Chatta (Tunisie)
21h – Whispering Sands de Nacer Khemir (Tunisie)
Séance suivie d’une collation gourmande

[VENDREDI 27 AVRIL]
16h30 – A Memory in Khaki (documentaire) de Alfoz Tanjour (Syrie)
19h – Withered Green de Mohammed Hammad (Egypte)
21h – Volubilis de Faouzi Bensaïdi (Maroc)

[SAMEDI 28 AVRIL]
14h45 – Atlal (documentaire) de Djamel Kerkar (Algérie)
17h30 – One of These Days de Nadim Tabet (Liban)
20h – Cactus Flower de Hala Elkoussy (Egypte)

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