[critique série] the detour, saison 2

[CRITIQUE SÉRIE] THE DETOUR, SAISON 2FICHE TECHNIQUE

Alors que la saison 1 nous avait laissé avec un cliffhanger assez impressionnant, la deuxième commence sur les chapeaux de roues avec l'arrivée de la petite famille à New-York. Et comme prévu, les quiproquos, les jeux de mots hallucinants et les situations absurdes sont de la partie. Et oui, à New-York il y a de quoi avoir des idées de malade et tout le premier épisode se résume à ça, sans même nous parler de ce fameux cliffhanger. Nous ne savons donc pas à quel moment de l'histoire nous en sommes, à savoir si les interrogatoires sont déjà passés, ou si Nate, notre père de famille complètement à la ramasse, est au courant de tout.

Puis vient le second épisode pas vraiment marrant, mais qui a le mérite de nous faire avancer dans l'histoire. Et c'est là toute la force de The Detour saison 2. La première nous faisait seulement partager un road-trip pas banal, alors que là, chaque épisode nous en fait apprendre un peu plus sur, par exemple, ces agents ou sur le pourquoi du comment.

Enfin c'est ce qu'on se dit... Mais au bout du sixième épisode (la moitié de saison), la réponse très détaillée pour la fin de la saison 1 est donnée, et il est temps ensuite de se mettre à une nouvelle histoire. Tout dans cette nouvelle saison est très bien calé pour que le récit avance de façon fluide, tout en nous faisant bien rire ou nous montrer des trucs vraiment dégueulasses.

Les acteurs sont toujours aussi bons, et les enfants prennent une plus grande place, ce qui est encore plus délirant. C'est eux l'âme de cette saison. Ils sont la naïveté, la bizarrerie et la débilité qui fait que Les parents, quand à eux, essayent de se démener du mieux qu'ils peuvent pour se sortir de leurs situations rocambolesques et des démons du passé (vive le Docteur tueur au banc) ! The Detour est aussi drôle. Jason Jones, qui joue le rôle du père, est à fond - en même temps il est aussi créateur de la série, alors bon - et Natalie Zea est plus sexy et marrante que jamais !

La saison 1 nous avait donné des épisodes finaux pas très marrants et beaucoup dans la surenchère. Là, le onzième passe comme une flèche et on ne peut pas s'empêcher de rire à gorge déployée alors que le dernier aurait pu être bien mieux. Ce que nous pouvons savoir, c'est que la série a été renouvelée pour une saison 3, et malgré l'absence de cliffhanger pour cette fin de saison, on a vraiment hâte de retrouver les Parker !

[CRITIQUE SÉRIE] THE DETOUR, SAISON 2POUR LES FLEMMARDS : Une suite bien mieux goupillée, qui nous donne une véritable histoire tout en restant dans la même lignée que la saison 1 au niveau de l'humour et des situations rocambolesques.

Bande-annonce de The Detour :