Lundi 6 février, La Dame au petit chien, Soirée Cinéma Russe au cinéma Bellecombe !

Lundi 6 février, La Dame au petit chien,  Soirée Cinéma Russe au cinéma Bellecombe !

Lundi 6 février à 19h30, prochaine soirée cinéma russe au cinéma Bellecombe (61, rue Inkermann, 69006 Lyon).

A l’affiche «La Dame au petit chien» (VOST), , un film soviétique réalisé par Iossif Kheifitz, sorti en 1960 qui fut présenté au festival de Cannes, tiré de la nouvelle éponyme d’Anton Tchekhov.

Venez passer une soirée dans une ambiance 100% cinéma russe !

Lundi 6 février, La Dame au petit chien,  Soirée Cinéma Russe au cinéma Bellecombe !

Lundi 6 février, La Dame au petit chien,  Soirée Cinéma Russe au cinéma Bellecombe !

Au programme :
– présentation du film;
– friandises typiques russes à déguster disponibles à la vente;
– projection du film
– et encore beaucoup de surprises !!!

Et après le film, un bon moment au café après le film (bar « Au Rendez vous des Amis » – 249 Cours Lafayette, 69006 Lyon)

Informations pratiques
Tarif : 5€
Enfant <12ans: 3€
Adhésion annuelle 2€ (ou plus si vous souhaitez soutenir notre initiative)
Venez un peu en avance pour pouvoir faire votre carte d’adhérent.
PARKING gratuit
Site Projet Russe : http://projetrusse.org   Site Cinéma Bellecombe : www.cinebellecombe.tk

Lundi 6 février, La Dame au petit chien,  Soirée Cinéma Russe au cinéma Bellecombe !

La Dame au petit chien de Iosif KheifitsAvec Alexei Batalov, Iya Savvina, Nina A
URSS,  1h30, 19590, 
Prix d’interpretation feminine pour Iya Savvina, Cannes 1960.

Synopsis

En Crimée, au bord de la mer. Gurov fait la connaissance d’Anna Sergueevna, qui promène avec ennui son chien sur la plage. Une amitié amoureuse s’installe entre ces deux etres qui souffrent de l’hypocrisie du monde. Mais ce qui devait n’être qu’un flirt de passage se transforme en une veritable passion

Adaptation de la nouvelle éponyme d’Anton Tchekhov.

La période plus libéral que connait la Russie sous Khrouchtchev a permis à quelques cinéastes habitués à des films de propagande de pouvoir s’exprimer au grand jour. C’est le cas de ce film qui est le seul film vraiment personnel de Joseph Heifitz.