Je dis bien mini plein parce que tous ces jours fériés et les ponts que ça occasionne, difficile de trouver un créneau pour aller en médiathèque. Comme à mon habitude, la spontanée que je suis a élaborée une liste de livres préalable à partir du moteur de recherche de la médiathèque de ma commune.

Il faudrait que je pense à vous montrer à quoi ça ressemble. Dis comme ça, ça a l’air facile mais c’est un travail de longue haleine. Je farfouille sur Babelio des livres qui pourraient me plaire et ensuite, je vérifie sur le site que la médiathèque de ma commune la possède. Ensuite, je prends un morceau de papier (difficile à retrouver en cas de besoin si non c’est pas marrant) où j’écris les livres que je veux. Et, je mets à côté de mes préférences un joli petit cœur surligné en rose.

D’autant plus dur qu’en ce moment, je ne veux lire que des histoires plutôt joyeuses et assez rafraichissantes. Ceci dit, je me fais toujours avoir car si le début ressemble à de la romance et à de la légèreté, la fin est souvent toute autre.

A part ça, j’ai choisi cette image car elle illustre bien ce que je ressens quand je lis une histoire. J’ai l’impression de me faire des amis, des fois de la famille même. Et, je ne vous dis même pas les voyages que j’ai déjà fait et que je fais en ce moment tout ça pour dix euros l’année. Voilà toute la beauté des livres, toutes leurs magies.

Voilà quelques uns de ces livres qui je l’espère me raviront:

Résumé:Nanny, une jeune étudiante de l’université de New York, finance ses études en gardant des enfants. Mais, quand elle accepte de s’occuper du petit garçon des X., elle ne sait pas ce qui l’attend ! Portrait au vitriol de cette classe privilégiée qui habite de gigantesques et luxueux appartements à Manhattan, Nanny, journal d’une baby-sitter, est un roman à la fois comique et poignant, aux accents irrésistiblement autobiographiques (les auteurs, ex-babysitters, savent visiblement de quoi elles parlent).

C’est par lui que j’ai commencé. Je dois dire que j’ai eu du mal avec le début qui me paraissait aller dans tous les sens. Cela dit depuis, je suis conquise. Parfois, je me suis sentie proche de Nanny de par les péripéties qu’elle vit qu’elle soit personnelles ou professionnelles d’ailleurs.

Même si je n’avais pas encore fini de lire le roman, j’ai voulu voir le film. Malgré quelques différences, j’ai trouvé le film plutôt réussi. J’ai particulièrement apprécié le côté anthropologique sur les BCBG de l’Upper East Side. Et, je me suis dit une fois encore pourquoi je n’ai pas Chris Evans pour voisin? C’est pas juste…

Résumé:Dix-neuf fois Colin est tombé amoureux. Dix-neuf fois la fille s’appelait Katherine. Pas Katie, ni Kat, ni Kittie, ni Cathy et surtout pas Catherine, mais KATHERINE. Et dix-neuf fois, il s’est fait larguer.

Bon, j’ai lu Les étoiles contraires et j’ai pleuré comme une madeleine. Je ne suis toujours pas prête pour voir le film même si ce dernier semble particulièrement réussi. L’autre roman du même auteur que j’ai lu c’est Les faces cachées de Margo. Toujours pas vu le film non plus.

En bref, je fais confiance à John Green pour nous rappeler combien nous avons été jeunes et sensibles. Et chacun de ses livres terminés, je me dis:  » Pourquoi j’avais pas ses livres quand j’étais ado! ». Tout comme Stephen Chbosky d’ailleurs. Du coup, je me rattrape!

Résumé:Birmingham, États-Unis. Ex-Miss Alabama, Maggie Fortenberry a pris une grande décision : elle va mettre fin à ses jours. Elle n’est ni malade ni déprimée, son travail dans une petite agence immobilière est plutôt agréable, mais elle a trouvé malgré tout seize bonnes raisons d’en finir, la principale étant peut-être que, à 60 ans, elle pense avoir connu le meilleur de la vie.Maggie a donc arrêté la date de sa mort et se consacre désormais en toute discrétion à en régler les détails.Or, peu de temps avant de passer à l’acte, Maggie est invitée par une collègue, Brenda, à un spectacle de derviches tourneurs. La représentation étant dans moins d’une semaine, elle décide, pour faire plaisir à Brenda, de retarder l’ultime échéance.
Elle est alors loin de se douter combien les jours à venir vont être riches en secrets dévoilés et en événements imprévus, lesquels vont lui montrer que l’existence a encore beaucoup plus à lui offrir qu’elle ne le croyait.

J’avais adoré Beignets de tomates vertes; tout comme son adaptation cinématographique avec Chris O’Donnell. Du coup, je suis toujours partante pour aller dans le sud des États-Unis en compagnie de personnages hauts en couleur, aux caractères bien trempés et de nourriture toute aussi délicieuse.

Résumé:

Le petit village de Coldwater, sur le lac Michigan, est le théâtre d’un véritable miracle. Un beau jour d’automne, le téléphone commence à sonner chez plusieurs de ses habitants. Tous les appels proviennent de personnes décédées. Au même moment, Sully Harding sort de prison. Lors de son séjour derrière les barreaux, sa femme est morte. Il est désormais père célibataire
. À son retour, il découvre un village en proie à une grande fièvre religieuse. Quand son propre fils ne vit plus que dans l’espoir d’un appel de sa mère, il est déterminé à prouver qu’il s’agit seulement d’une gigantesque supercherie. Mais est-ce bien le cas ?

On finit avec ce livre et pas des moindres. J’avoue que je connais pas du tout l’auteur ni ses œuvres précédentes. Je l’ai découvert sur Babelio dans une liste des livres qui ont du bien au moral .

Très vite, le résumé très original m’a séduit. J’espère que je ne serai pas déçue.

Et vous, quels sont vos livres Feel Good ?