[Top & Flop France] Février 2015 – Un box-office love et coquin…

Par Kevin Halgand @CineCinephile

Ah Février ! Février, le mois des amoureux, le mois le plus court de l’année, le mois le plus adorable, le mois le plus cool de 2015… d’un autre côté, il n’y a eu que deux mois d’écoulés pour le moment. Pourquoi une telle déclaration ?

Parce que les entrées sont en hausse de 9,14% par rapport à la même fin février 2014. Et les blockbusters ne sont pas encore de sortie (Grey est-il un blockbuster ?), les surprises devraient encore être bien présentes en mars… avec 39 802 295 billets vendus, février aura permis au cinéma français d’enregistrer une part de 36,2%, laissant aux USA (53,5%) et au reste du monde (10,4%) : 63,8% de par de marché… à la même époque en 2014, le cinéma français était à un petit 30%.

Mais je sais bien que tout n’est pas qu’une histoire de chiffres entre nous ! Aussi maintenant que j’ai toute votre attention, entrons dans le vif du sujet : Tops & Flops France – Février 2015 (épisode 2 saison 2).

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  • Timbuktu d’Abderrahmane Sissako

« Effet César » oblige, le film de Sissako ressort en salles, auréolé des 7 Prix qu’il a reçu lors de la 40ème et ennuyeuse cérémonie des César du cinéma français. À l’heure actuelle, le film cumul 942 964 entrées mais quand vous lirez ces lignes, il aura dépassé le million. Un cri de colère, une histoire bouleversante, un film nécessaire : de bonnes raisons de découvrir Timbuktu en salles, plus que les César qu’il a obtenus.

  • La Famille Bélier

Même si Louane Emera est repartie avec le César du meilleur espoir féminin (eh les amis, il y avait aussi Lou de Laâge et Joséphine Japy en fait… sans rien enlever aux qualités de Louane), La Famille Bélier continue son petit bonhomme de chemin sans avoir besoin de « l’effet César » : 6 855 204 spectateurs ont été touchés par cette histoire simple d’une famille hors norme transformée par la voix de leur fille qui pourrait avoir alors une vie bien différente que celle de ses parents. Feel good movie par excellence, La Famille Bélier est un carton depuis sa sortie. Et si finalement, les 8 millions des Choristes seront compliqués à atteindre, les 7,5 millions sont dans le viseur. Et maintenant, en plus du cinéma, Louane va pouvoir gérer sa carrière de chanteuse naissante.

  • Les Souvenirs de Jean-Paul Rouve

Voilà un autre film qui a fait du bien aux spectateurs en salles : emprunt d’une douce mélancolie, parlant à toutes les générations, le nouveau bijou de Jean-Paul Rouve, adapté par ses soins avec l’auteur du livre (David Foenkinos) aura cueilli tout le monde avec une certaine délicatesse. Annie Cordy n’y est pas étrangère dans la mesure où elle porte sur ses frêles épaules, cette grand-mère que l’on aurait tous aimé avoir. 1 million de billets vendus au moment où vous lirez ces lignes, même si dans le tableau récapitulatif, le film ne les a pas encore atteints.

  • The Imitation Game

Morten Tyldum a tout gagné avec ce film : la reconnaissance d’Hollywood, l’Oscar du meilleur scénario adapté et surtout 924 537 spectateurs… et ce n’est pas fini. Là, « l’effet Oscar » n’a aucun rôle à jouer (même si le discours de Graham Moore, le scénariste) fut l’un des plus touchants, le film a suffisamment de qualités intrinsèques pour attirer les foules. Et ce n’est pas cette critique qui dira le contraire : cliquer ici.

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Ils sont 5 à bénéficier du titre de « Top » du mois. Cinq films de genre très différents, cinq films attendus plus ou moins avec de jolis scores mais peut-être pas aussi haut pour certains. Et un mot résume ces cinq films : une légère dose de violence les réunit.

  • Violence physique et psychologique : American Sniper de Clint Eastwood

Excellent démarrage, meilleure moyenne en continu depuis sa sortie, plus beau succès d’Eastwood depuis l’échec des Jersey boys et surtout, rôle impressionnant pour Bradley Cooper. Si on ne fera pas abstraction de la polémique sur la violence du film, une certaine apologie des armes et du meurtre pour le bien du pays, American sniper porte en lui le portrait terrifiant d’une certaine Amérique. Et le grand Clint qui a tant glorifié cette Amérique se fend ici d’une charge anti-violence quand vous prenez le film au second degré. Il faut savoir lire entre les lignes pour apprécier ce biopic qui a attiré 1 836 099 spectateurs pour le moment.

  • Violence cartoonesque : Kingsman : services secrets

Matthew Vaughn mérite le respect : il a pu et su ressusciter les X-Men (après le plus ou moins ratage de Brett Ratner), il a imposé Kick-Ass comme un sommet du teenage movie barré et violent, mais donneur de leçons. Aussi quand il propose l’adaptation d’un autre Comics, à savoir Kingsman, on est en droit d’être impatient. Quand il s’associe à la fine fleur des acteurs « so british » (Colin Firth, Michael Caine entre autres), on ne peut que vouloir découvrir le résultat grandeur nature ! Et le plaisir est grand tant le film est un cartoon géant, violent certes, mais bien écrit, correct et révélant une facette de Firth jusqu’alors méconnu. Si 955 396 Français sont déjà allés applaudir ces aventures bondiennes décalées, le million et demi ne serait que justice… et on est en droit d’attendre la suite avec encore plus d’impatience !

  • Violence parentale : Papa ou Maman de Martin Bourboulon

Alors oui, bien entendu, la violence est présente, mais si elle est physique, elle est surtout très drôle, car Papa ou maman est avant tout une comédie. On y rit beaucoup, l’humour vachard y est très présent (aussi on est en droit de regretter une fin trop sage), le duo Marina FoïsLaurent Lafitte fonctionne à plein régime dans cette histoire basique de « qui va garder les enfants ? »… ou plutôt « qui va tout faire pour ne pas les garder ». Un véritable jeu de massacre drôle, piquant, à la limite du politiquement correct mais totalement subversif et jouissif (oui j’ose le mot). Si 2 282 231 spectateurs ont déjà ri à ces mésaventures de la famille « boulet » euh Leroy, on est en droit de se demander si une suite pourra être envisagée. À la condition qu’Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte (les heureux parents du prénom) aillent encore plus loin dans l’humour vache !

  • Violence de Comics

Encore une adaptation de Marvel par Disney : Les Nouveaux Héros. Idée de génie : en faire un long métrage d’animation et non pas un film en réel… réussite totale pour ce petit bijou d’humour, de tendresse et avec une dose de violence savamment mesurée pour ne pas terrifier les plus petits dans les salles obscures. Alors oui, 1,3 million de spectateurs sont allés en salles donc pour un Disney c’est un peu faible, mais l’offre est différente cette fois et Disney prouve qu’il peut se renouveler notamment grâce au talent de Don Hall et Chris Williams.

  • Violence « pan-pan cul-cul »

Meilleur premier mercredi de l’année, meilleur démarrage de l’année, meilleur bouche à oreilles négatif de l’année, meilleur deuxième semaine en recul du nombre d’entrées, meilleur film humoristique de l’année, meilleure publicité pour le « SM » soft… bref, vous l’aurez compris Monsieur Grey aura su attirer du monde à lui… Le parfum de soufre, l’aura du livre, les deux acteurs découverts (certes Jamie Dornan n’est plus un inconnu pour qui est fan de l’excellente série the fall) et la date de positionnement de sortie auront fait des cinquante nuances de Grey : un succès en terme marketing.

Maintenant si 2 081 635 spectatrices principalement auront sur entrainer leur compagnon lors de la Saint Valentin pour s’adonner en douceur à quelques visions d’un plaisir SM (fessées, fouets et martinets), le film est plus drôle qu’autre chose et surtout un peu « cul-cul la praline », pour ne pas dire mièvre et niais. Les prochains volets risquent de bénéficier encore de l’effet coquin, mais honnêtement, monsieur Grey ne devrait plus vous emmener au septième ciel pour les prochains volets. Et pour se faire plaisir, autant revoir la Bande originale Légo bien meilleure que le film lui-même :

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  • Bis de Dominique Farrugia

J’ai choisi de le mettre dans les films du milieu, car Bis n’est pas un blockbuster attendu (Dubosc sort un à deux films par an, Merad n’a pas encore retrouvé les sommets depuis le début de l’année). Le film n’est pas non plus original dans son scénario : les voyages dans le temps. Et pourtant, il a pratiquement attiré 1 million de spectateurs (ce sera chose faite quand vous lirez ces lignes) et surtout, c’est un film plus tendre que comique. Le brouillon de notre vie ne peut être réécrit, mais quand on peut avoir une seconde chance, autant tout magnifier au possible et accepter la vie que l’on s’est choisie. Tant dans l’écriture que la façon de filmer, le film surprend en bien : Farrugia réussit un film mélancolique pour qui a vécu les années 1980, et par les contrastes, il propose de redécouvrir cette vie particulière où les vestes à épaulettes étaient reines, et où les parents étaient déjà dépassés. Bis est une bonne surprise donc.

  • Jupiter : le destin de l’univers d’Andy et Lana Wachowski

Les voici de retour après le déroutant et prenant Cloud Atlas. La famille Wachowski s’offre cette fois-ci un space-opéra aux effets visuels imparables, au casting parfaitement maîtrisé, mais au scénario un peu alambiqué. Pourtant, le succès est au rendez-vous, car 770 582 spectateurs ont su trouver leur chemin. Et même si on est loin de la folie des Matrix, on est dans une belle courbe ascendante (comme le titre original) pour les Wachowski qui regagnent l’amour du public français.

  • Pour mieux comprendre les affaires en France : le cinéma mène l’enquête

Après s’être attaqué au procès d’Outreau, Vincent Garencq a décidé d’adapter les livres de Denis Robert pour expliquer l’affaire Clearstream sans perdre le spectateur et en étant le plus pédagogique possible. Au final, Gilles Lellouche est comme toujours parfait et si seulement 212 223 spectateurs sont allés en salles, cela n’enlève rien aux qualités de ce long-métrage qui connaîtra une belle carrière en VOD et Blu-Ray, tout comme le fut l’exercice de l’État.

  • Une éponge et une abeille pour les vacances d’hiver

Maya et Bob réussissent l’exploit d’attirer un jeune public en masse dans les salles… même si pour Bob, on a pu remarquer que des adultes étaient très présents ! Souvenir d’enfance, Maya l’abeille bénéficie d’un joli coup de jeune grâce au talent d’Alexs Stadermann. De retour dans son pays natal, cette grande aventure de la petite Maya accompagnée de Willy et de Flip la sauterelle bénéficie d’un casting vocal soigné pour les plus petits (Jenifer et Christophe Maé) et d’une image colorée et amusante. Pas de doute, 829 041 enfants ont apprécié ces aventures, et comme pour la Fée clochette l’an dernier, le million sera atteint… permettant une suite des aventures de la butineuse la plus célèbre.

Quant à Bob l’éponge, c’est une autre histoire. Il faut le reconnaître, le dessin animé n’est pas un hit en France : Bob est connu et surtout reconnu pour ses histoires un peu légères voire idiotes. Aussi, quand le film (c’est déjà la deuxième aventure sur grand écran) est prévu dans les radars, on est en droit de se demander s’il sera un succès… d’où sa place dans les films du milieu, car sans être le succès américain prévu, il a réussi à attirer 946 884 spectateurs en salles…

Là aussi, le million sera atteint et on peut se poser une question : est-ce le mélange dessin animé et prises de vues réelles qui a fait le succès de ces aventures ou un matraquage publicitaire savamment orchestré ? Ou plus simplement, certains adultes qui ont eu envie de se plonger avec délice dans leurs souvenirs d’enfance !

  • Le bel envol de Birdman

Alejandro González Iñárritu a fait une razzia d’Oscars fin février… et on était en droit de se demander si cela était mérité tant Boyhood était novateur et The Imitation Game, mon coup de cœur. Au final, si le scénario est convenu (une ex-star de blockbusters cherche à être reconnu comme une star de films indépendants), le film excelle dans sa mise en scène, sa réalisation caméra à l’épaule où les plans de coupe et de montage sont discrets pour en faire un film virtuose dont le premier visionnage est juste un éblouissement… il faudra donc d’autres visionnages pour apprécier pleinement ce film.

  • L’homme est un loup pour l’homme : et le loup, lui qui est-il ?

Jean-Jacques Annaud revient à ce qu’il fait de mieux : le film naturaliste, animalier. Après l’ours, il narre l’histoire vraie d’un jeune instituteur chinois qui vient dans un camp de nomades mongols pour les éduquer et leur permettre de comprendre la politique et la vision de Mao. Mais cet échange apporte plus qu’un endoctrinement politique, c’est bien à une ode à la nature et à son cycle naturel que nous convie Annaud. Le Dernier Loup est une fable magnifiée par des prises de vues incroyables, des paysages à couper le souffle et des morceaux de bravoure impressionnants. Le film serait quasiment parfait si la bande originale de James Horner ne venait pas tout plomber. En tout cas, pour le moment, Le Dernier Loup est un film du milieu qui a attiré 483 683 spectateurs et il connaîtra sans nul doute une belle carrière en mars.

© Mars Distribution

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  • Vincent n’a pas d’écailles

Si Thomas Slavador livre là une belle première fiction touchante et étrange sur un super-héros à la française qui tire son pouvoir de l’eau dans laquelle il se trouve, il ne réussit pas à renouveler un genre particulier qu’Hero Corp a su magnifier en France. Son Vincent n’est malheureusement pas assez prenant pour attirer les foules en salles.

  • Dernière sortie au musée pour Ben Stiller

Il est vrai que si l’on regarde le résultat, ce sont pratiquement 1,5 million de spectateurs qui sont allés découvrir les dernières aventures de Larry le gardien de musée, cette fois-ci à Londres. Joli score mais très en deçà des précédentes aventures mises en scène par Shawn Levy. C’est moitié moins que les deux précédents volets ! Il était temps sans doute que cela s’arrête cette nuit au musée car malheureusement, le secret des pharaons n’a plus rien à révéler désormais.

  • Toute Première Fois et Into the Woods : de fin janvier à fin février

Comme il est parfois difficile d’attendre avec impatience des films et de voir que ces attentes ne sont pas comblées. Pour Toute première fois, auréolée du Grand Prix du Festival du film de l’Alpe d’Huez, les réalisateurs (Noémie Saglio et Maxime Govare) connaîtront la même déconvenue que celle de Manu Payet l’année dernière. Situation amoureuse : c’est compliqué n’avait pas dépassé les 336 000 spectateurs et toute première fois n’atteindra que difficilement les 500 000 entrées. Décevant, car malgré le potentiel comique, le film souffre de faiblesses scénaristiques qui l’empêche de s’élever pleinement. Et il en est de même avec la comédie musicale de Rob Marshall : Into the Woods offre un univers féérique, des costumes intéressants, mais les chansons sont longues, lourdes et le film poussif. Déception totale que cette histoire tirée par les cheveux à peine sauvée par Meryl Streep… et de fait, 204 333 personnes se sont déplacées dont votre serviteur pour subir le film !

  • It Follows : quand le teenage movie d’horreur ne fait plus recette

Là aussi, auréolé du grand prix de Gérardmer, on était en droit d’attendre beaucoup plus pour ce petit film d’horreur qui met le sexe entre ados comme trouble horrifique de la jeunesse. Un scénario malin, des acteurs frais et engagés, des effets spéciaux nécessaires et dosés correctement, tout était réuni pour que le film dépasse les 120 564 spectateurs… mais là malheureusement, ce sera un rattrapage en DVD-Blu Ray qui lui permettra sans doute une seconde jeunesse et peut être d’espérer obtenir un statut de film culte maudit comme Rocky Horror picture show ou encore l’effet papillon, ce qui ne serait que justice pour son réalisateur, David Robert Michell.

© Metropolitan FilmExport

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Mais absolument ma petite dame ! Jugez sur pièces :

  • Inherent Vice : car chaque nouveau P.T Anderson est un rêve éveillé et un trip hallucinant !

  • Snow in Paradise d’Andrew Hulme car il révèle un acteur hallucinant, Frederick Schmidt, parfait en asocial amoral et violent. Un film percutant !
  • Crosswind la croisée des vents de Martti Helde : où l’horreur de la déportation des Estoniens par Staline est illustrée par un procédé d’une force extrême et incroyable. Un film nécessaire.

© ARP Distribution

  • The Voices : parce que Marjane Satrapi sait tirer le meilleur de Ryan Reynolds en psychopathe mi-drôle, mi-barré avec un casting de folie pour l’entourer : Anna Hendrick, Gemma Arterton et Jacki Weaver. Et il y a aussi un chat démoniaque au passage…
  • Selma d’Ali DuVernay : portrait sans fard de Martin Luther King au moment où il entame le bras de fer avec le président Johnson pour permettre aux Afro-Américains de pouvoir enfin voter !
  • Big Eyes de Tim Burton pour un film garanti sans Johnny Depp, Helena Bonham Carter et autres montres bizarres (non Lana del Rey n’est pas une extra-terrestre !). Un biopic qui attise notre curiosité…

  • Still Alice pour découvrir la performance de Julianne Moore qui lui a valu un Oscar.
  • Pierre Niney dans un homme idéal, film post-César et Yves Saint Laurent.
  • Et puis le nouveau long de Jérôme Bonnell qui renouvèle le triangle amoureux en plaçant Anaïs Demoustier en objet de toutes les convoitises dans À trois on y va.

Et quelques autres qui devraient vous surprendre et dont on parlera début avril… Vivement !

Ah et au passage, n’oubliez pas que mars, c’est surtout le Printemps du Cinéma !  Je vous rappelle le topo : pour une place achetée le dimanche 22, le lundi 23 ou le mardi 24 mars, il ne vous en coûtera que 3,50 euros !

En plus, les opérations habituelles telles que le Cinéday fonctionnent sans souci avec le Printemps…

C’est le box-office qui va être content !

BOX-OFFICE FRANCE (au 4 mars)

Et depuis janvier, comment se comporte les 10 films les plus vus en France ?

RANG TITRE NOMBRE D’ENTRÉES

1 Cinquante nuances de Grey* 3 480 610

2 Taken 3* 2 573 977

3 Papa ou maman* 2 282 231

4 American Sniper * 1 836 099

5 La nuit au musée – le secret des pharaons 1 472 654

6 Les nouveaux héros* 1 371 570

7 Les souvenirs* 991 740

8 Bis* 987 675

9 Kingsman agents secrets* 955 396

10 Bob l’éponge – un héros sort de l’eau* 946 884

* film encore en continuation

Sources : http://www.jpbox-office.com/index.php

Bilan : Monsieur Grey attire tout le monde vers le haut… à tel point que Taken 3 continue sur sa lancée et que papa ou maman devrait très vite dépasser les 2,5 millions de spectateurs. Si on ajoute à cela les excellents démarrages de Birdman et du dernier loup, il n’y a pas à douter que potentiellement mars devrait être un mois prolifique avant le débarquement des blockbusters… dont Avengers 2 fin avril (le 22 pour être précis).

La Conclusion du Mois

 Et c’est déjà fini pour février… non, ne pleurez pas, je vous laisse avec un bilan qui doit vous donner envie d’aller en salles pour découvrir un maximum de films. Aussi, d’ici le mois prochain, faites-vous plaisir et comme toujours : Enjoy !