Lundi 25 août 2014, dans le cadre de "Tout l’monde dehors" projection en plein air place Jean Jaurès de Rude Boy Story

Lundi août 2014, dans cadre Dans le cadre de "Tout L’Monde Dehors !", lundi 25 août à 21h30, projection en plein air, place Jean Jaurès (Lyon 7eme) du documentaire musical "Rude Boy Story".
Accès : Métro Ligne B, arrêt Jean Jaurès.
Entrée gratuite.

Lundi août 2014, dans cadre

Rude Boy Story
De Kamir Méridja
Documentaire
France – 2011 – 1h25
Date de sortie 12 décembre 2012

Synopsis

Rude Boy Story est un documentaire sur le parcours musical atypique du groupe de reggae français Dub Inc : une bande de potes qui construit sa route hors des sentiers battus, en prônant l’indépendance et l’autoproduction, loin des circuits médiatiques traditionnels.

Le réalisateur, qui a suivi le groupe durant trois ans, a autoproduit un film qui met en lumière une aventure délicate et profondément humaine ; celle qui permet à Dub inc. de préserver ce qui fait d’eux un groupe différent : leur liberté.

Lundi août 2014, dans cadre

A propos du film

Après avoir réalisé des clips et des courts métrages, Kamir Meridja signe avec Rude Boy Story son premier long métrage.

Après avoir découvert le groupe Dub inc. en 2002, le réalisateur s’est beaucoup rapproché des musiciens. Réalisant des clips pour eux, il a fini par constater la nécessité de leur dédier un documentaire : "(…) il y avait quelque chose d’assez paradoxal dans le fait que ce groupe, très populaire en France et en Europe, ne soit pas relayé par les médias et n’ait aucune reconnaissance médiatique, ni ne passe jamais à la radio. [...] Je me disais : "si un jour ils arrêtent, que va-t-on retenir de cette aventure unique ?"", partage-t-il.

Rude Boy Story a été produit par le réalisateur Kamir Meridja lui-même : "J’ai pris en charge l’ensemble des frais liés au tournage et au montage, sur mes fonds propres et sur mon investissement en temps. Ce modèle offre une liberté évidente mais en contrepartie, il faut arriver à concilier le temps nécessaire à la réalisation du film et celui à côté pour gagner sa vie, car je n’ai pas obtenu d’aide spécifique à la production de ce documentaire", confie-t-il.