Transformers 2 : La revanche (Transformers: Revenge of the Fallen)

Par Cinephileamateur
Cinéphile du jour, bonjour !!! L'été est là, le soleil commence à pointer le bout de son nez et avec lui, les blockbusters commencent à fleurir dans nos salles obscures. Aujourd'hui, je vais vous parler d'un de ses films qui ouvre les festivités à savoir "Transformers 2 : La revanche". Deuxième volet de la franchise, pour en savoir un peu plus sur ce film et connaitre mon avis, cliquez sur "Lire la suite"...
"Ce que je vais te montrer est classé top secret... Ne le montre pas à ma mère !"
Il s'agit d'un film de science-fiction américain qui est sorti en France le 24 juin 2009 (le film est sorti aux Etats-Unis à la même date) et dont la durée est de 2 heures 31.
"Transformers 2 : La revanche" est un film réalisé par Michael Bay.
Le film à été produit par Don Murphy, Tom DeSanto, Lorenzo di Bonaventura, Ian Bryce, Allegra Clegg et Ken Bates.
Le scénario à été écris par Ehren Kruger, Roberto Orci et Alex Kurtzman.
La bande originale à été composée par Steve Jablonsky.
Film tous publics lors de sa sortie en salles.
Quelques vidéos sur le film

Mon billet sur le premier "Transformers"

Site officiel du film (français)

Le blog officiel du film (français)

Site officiel du film (anglais)




La saga Transformers provient des très populaires jouets Transformers, lancés conjointement sur le marché, en 1984, par les marques Hasbro (Etats-Unis) et Takara (Japon). Inspirés des jouets japonais Diaclone, apparus quatre ans auparavant, les Transformers sont des robots se transformant en véhicules, qui remportent un succès de très grande ampleur auprès du jeune (et du moins jeune) public américain. Ces jouets donneront ensuite naissance, entre autres, à un comic-book Marvel, à une série télévisée à succès, à des jeux vidéos, à un film d'animation et à un film en prises de vues réelles, le "Transformers", premier du nom, déjà réalisé par Michael Bay.
S'il n'y avait "que" 14 robots dans le premier volet, "Transformers 2 la revanche" propose 46 modèles différents ! Près de 145 000 Go d'espace disque ont ainsi été nécessaires pour le film (contre 20 000 la première fois).
Un des moments clés du tournage se déroula en Egypte, à Gizeh et à Louxor. L'équipe s'y est installé pendant trois jours à l'ombre des pyramdies et a bénéficié de l'autorisation exceptionnelle d'un archéologue pour tourner. John Turturro eu ainsi le privilège de gravir une des pyramides jusqu'à son sommet. Ce fut aussi la première fois qu'une équipe de cinéma fut autorisée à filmer des plans aériens du site. En tout, le tournage sur place dura trois jours.
Fin juillet 2008, Shia LaBeouf fut victime d'un accident de la circulation qui obligea la production à revoir le planning de tournage et à maquiller sa blessure. Le jeune acteur fut également blessé à l'œil à la fin du tournage après avoir heurté un modèle de robot, écopant alors de sept points de suture.
Optimus Prime a été conçu pour être de grandeur nature sur les écrans IMAX pendant les scènes de combats en forêt.
Le Devastator a une hauteur équivalente à un immeuble de dix étages et est composé de 52 632 pièces détachées.
Alors qu'il calculait le rendu de Devastator, un des ordinateurs des animateurs d'ILM surchauffa, faisant même fondre ses circuits internes. A noter qu'il faut près de 72 heures pour calculer une seule image de robot.
Il faut près de 6 mois pour créer un transformer en images de synthèses. Toutes les pièces des robots doivent d'abord être créés individuellement (Optimus Prime en compte par exemple 10 000) avant que les textures ne soient appliquées sur les modèles.
Près de 300 personnes de la société ILM ont travaillé sur les effets visuels du film et la postproduction.
Pour simuler la présence des transformers sur les plateaux et faciliter le travail des comédiens, les équipes installaient des modèles de robots en apposant des photographies de leurs "visages" ou, plus simplement, dépliaient un manche télescopique puis encourageaient les acteurs à parler en direction de l'extrémité du manche.
Jonah Hill ("SuperGrave") fut un temps pressenti pour incarner le personnage de Léo Spitz qui est finalement revenu à Ramon Rodríguez.
Leonard Nimoy, connu pour son rôle de Monsieur Spock dans "Star Trek", était le doubleur de Galvatron à l'époque de la série animée des années 80. Il fut un temps contacté pour participer au film en tant que doubleur du Fallen mais les discussions n'aboutirent pas.
Les scènes sur le porte avions ont été tournée sur le USS John C. Stennis. Certains figurants étaient même les marins en poste sur le bâtiment.
Si le constructeur General Motors est le principal fournisseur de Transformers (malgré ses déboires financiers), la société Caterpillar Inc. a également fourni trois véhicules pour les besoins du film.
Les effets spéciaux ont été travaillés jusqu'à l'ultime minute. Lors de la sortie au Japon, ce fut même une copie non définitive du film qui fut livrée aux salles de cinéma.
Dans la première bande-annonce du film, un plan furtif montre la Tour Eiffel placée au nord de la place de la Concorde... Une erreur qui n'a pas manqué d'être pointée du doigt par les fans...
A l'instar du premier volet, "Transformers 2 la revanche" a été décliné en jeu vidéo sur quasiment toutes les consoles du marché. Le jeu est ainsi disponible sur PC, Playstation 2, PSP, XBox 360, Playstation 3 et Nintendo Wii.
Dans la chambre de Sam Witwicky figure une affiche de "Bad Boys 2" réalisé par... Michael Bay ! On peut aussi y appercevoir l'affiche du film "Cloverfield" dont les scénaristes Roberto Orci et Alex Kurtzman figure dans l'équipe technique de ce film et de "Transformers 2 : La revanche".
Le budget de "Transformers 2 : La revanche" s'est élevé à 200 millions de dollars.
"Transformers 2 : La revanche" est le titre français du film "Transformers : Revenge of the Fallen" dans sa version originale. Voici différents titres que ce film peut avoir en fonction du pays dans lequel on le visionne :
  • Трансформеры: Месть падших (Russie),
  • Prime Directive USA (faux titre de travail américain),
  • Toransufômâ: Ribenji (Japon),
  • Transformer: Revenge (autre titre japonnais),
  • Transformers - Die Rache (Allemagne),
  • Transformers - La venganza de los caídos (Venezuella),
  • Transformers - Razbunarea celor invinsi (Roumanie),
  • Transformers - Retaliação (Portugal),
  • Transformers - Yenilenlerin intikami (Turquie),
  • Transformers 2 - Kaatuneiden kosto (Finlande),
  • Transformers: A Vingança dos Derrotados (Brèsil),
  • Transformers: A bukottak bosszúja (Hongrie),
  • Transformers: De Faldnes hævn (Danemark),
  • Transformers: De beseirede slår tilbake (Norvège),
  • Transformers: I ekdikisi ton ittimenon (Grèce),
  • Transformers: Pomsta porazených (République Tchèque)...



Le casting du film :

Shia LaBeouf (Sam Witwicky), Megan Fox (Mikaela Banes), Josh Duhamel (Le Sergent Lennox), Tyrese Gibson (Le Sergent Epps), John Turturro (L'Agent Simmons), Kevin Dunn (Ron Witwicky), Julie White (Judy Witwicky), John Benjamin Hickey (Galloway), Ramon Rodríguez (Leo Spitz), Isabel Lucas (Alice), Rainn Wilson (Le Professeur Colan), Matthew Marsden (Graham), Hugo Weaving (Voix VO Megatron), Peter Cullen (Voix VO Optimus Prime), Frank Welker (Voix VO Devastator), Mark Ryan (Voix VO Bumblebee), Darius McCrary (Voix VO Jazz), Samantha Smith (Sarah Lennox), Glenn Morshower (Le Général Morshower), Katie Lowes (April), Michael Papajohn (Cal), Mike Patton (Voix VO Mixmaster), Spencer Garrett (McCain), Peter Jason (Le Directeur), Jonathon Trent (Fasbinder), Michael Benyaer (L'agent egyptien d'Interpol), Alex Fernandez (Le Lieutenant Colonel Cetas), Kortney Nash (Mozambiqua), Steve Tom (Le Directeur de McLaren Robotics), Walker Howard (Sharsky), Sean T. Krishnan (Yakov), John Nielsen (Le Capitaine Wilder), James Harvey Ward (L'opérateur du sonar), Donald Sage MacKay (Le Capitaine su sous marin), Cornell Womack (Le Directeur du FBI), Ralph Meyering Jr (Le Général du NORAD)...
Le synopsis :

Deux ans se sont écoulés depuis que Sam Witwicky a sauvé l'univers d'une bataille décisive entre les deux clans rivaux de robots extraterrestres. Malgré ses exploits, Sam reste un adolescent préoccupé par les soucis des jeunes gens de son âge : alors qu'il s'apprête à entrer à l'université, il doit se séparer de sa petite amie Mikaela et de ses parents pour la première fois de sa vie. Il lui faut aussi tenter d'expliquer son départ à son nouvel ami, le robot Bumblebee. Sam aspire à vivre une vie normale d'étudiant, mais il doit tourner le dos à son destin pour y parvenir.
Si Sam a fait ce qu'il a pu pour tirer un trait sur le conflit qui a eu lieu à Mission City et revenir à ses préoccupations quotidiennes, la guerre entre les Autobots et les Decepticons, tout en étant classée secret défense, a entraîné plusieurs changements. Le Secteur 7 a ainsi été dissout et son plus fidèle soldat, l'agent Simmons, a été révoqué sans ménagement. Résultat : une nouvelle agence, NEST, a été mise en place. Avec l'aide d'officiers connaissant parfaitement le terrain comme Lennox et Epps, NEST a pour mission de collaborer avec les Autobots pour éviter un nouvel affrontement avec les Decepticons. Malheureusement, le conseiller auprès de la Sécurité Nationale, Theodore Galloway, manque d'intuition pour prendre toute la mesure du danger. Cherchant à prendre le contrôle des organisations militaires pour accroître son pouvoir, il s'efforce de dissoudre NEST qu'il considère comme une structure gouvernementale inutile. Il est convaincu que la menace d'une guerre est écartée et que les humains n'ont aucun intérêt à soutenir les Autobots contre les Decepticons.
Alors que la vie de Sam semble reprendre normalement son cours à l'université, et qu'il fait la connaissance de son colocataire Leo et de la ravissante Alice, il est soudain assailli par des visions semblables à des éclairs. Craignant d'être frappé par le même type de démence que son grand-père, Sam ne parle à personne de ses hallucinations - jusqu'à ce qu'il ne puisse plus faire comme si les messages et les symboles qu'elles véhiculent n'existaient pas.
Bien qu'il en ait décidé autrement, Sam se retrouve une fois encore au coeur d'un combat entre les Autobots et les Decepticons où se joue le sort de l'univers. Sans le savoir, il est le seul qui puisse faire triompher le bien contre les forces du mal. Avec l'aide de ses amis, de ses contacts chez NEST et même de ses parents, Sam apprend à être fier du nom Witwicky et de la devise familiale : "Sans sacrifice, point de victoire !"


Malgré des faiblesses scénaristiques prévisible et étant amateur de tout ce qui peut s'apparenté à un blockbuster estival, j'avais bien aimé "Transformers" premier du nom. C'est donc avec un certain plaisir et sans forcément en attendre un chef d'œuvre en la matière que je me suis dirigé vers ma salle de cinéma pour découvrir la suite de ses aventures dans cette guerre entre Autobots et Decepticons.
Fidèle à mes attentes, une nouvelle fois il ne faut pas aller chercher bien loin du point de vue du scénario. N'ayant pas pour but de nous faire une fable philosophique sur l'écologie et l'utilisation du pétrole dans le monde, "Trandformers 2" se veut avant tout un simple divertissement d'action. Dans sa forme, je trouve d'ailleurs que le film atteint clairement son objectif et je lui pardonne donc ses nouvelles facilités et autres clichés qui surplombe le film cependant, j'ai quand même été un peu déçu par cette histoire que j'ai trouvé un peu trop brouillonne. A force de vouloir exploiter tout pleins de choses, les scénaristes Ehren Kruger, Roberto Orci et Alex Kurtzman s'embrouille les pinceaux et tandis que je trouvais le premier volet vachement fun, j'ai trouvé que cette suite sombré un peu trop souvent dans le guignol. Les clins d'œils cinématographique nombreux font d'ailleurs plus office d'inspirations laborieuse que d'hommage respectueux. J'ai trouvé que de nombreuses scènes sont inutiles comme par exemple celle de la mère du héros à l'université qui se laisse un peu aller après une prise de drogues pour ne citer que cet exemple. J'ai aussi été un peu étonné par la tournure que prend par moment l'intrigue avec des robots qui font plus penser à un "Terminator" comme le personnage d'Alice plutôt qu'à un Transformers qui à la base sont juste des robots capable de se transformer en véhicules et non en humains. L'humour y est en tout cas toujours présent et alterne avec des scènes d'actions afin d'offrir aux spectateurs tout ce qu'il est venus chercher dans ce film. L'histoire aurait d'ailleurs pu être un chouïa raccourci mais je dois admettre que même si j'ai trouvé certaines scènes efficaces plus que d'autres, le film passe relativement vite.
Du côté de la distribution, on prend les mêmes et on recommence. Si les personnages ont que sensiblement évolué (voir régressé pour certains malheureusement), c'est quand même avec plaisir que je les ai retrouvé dans cette suite à commencer par Shia LaBeouf. Ce dernier est toujours aussi à l'aise avec son personnage et continue son ascension parmi ses acteurs qui montent et qui devrait continuer à faire parler d'eux. Convaincant, je l'ai trouvé crédible allant même jusqu'à rendre moins empoté, plus sûr de lui son héros. A ses côtés, c'est avec aussi un très grand plaisir que l'on retrouve la belle Megan Fox. Plus mise en avant par le scénario, l'actrice est ici présente dans un rôle où elle va avoir de l'importance. Moins potiche de service mais toujours en utilisant ses atouts charmes (faut pas non plus se voiler la face), l'actrice possède sans doute le rôle qui à le plus évolué et entre les deux films de la franchise, j'ai trouvé que son jeu avait progressé. Je ne connais cette actrice que via cette saga mais je suis curieux de la voir dans un autre film du coup pour avoir un avis plus précis sur ses interprétations en tout cas ici, son évolution se fait ressentir. Les robots et autres effets spéciaux étant plus mis en avant, le reste du casting peut paraitre anecdotique même si parmi les seconds rôles certains s'en sortent mieux que d'autre. Par exemple, Josh Duhamel et Tyrese Gibson assure une certaine continuité avec leurs rôles. Leurs personnages respectifs utilisent toujours les mêmes étiquettes mais les acteurs restent constant. Ce n'est pas le cas malheureusement de John Turturro qui se ridiculise dans ce film. Il n'est pas mauvais loin de là c'est juste que le scénario ne le met pas du tout en valeur au point de descendre bien bas dans cette franchise tout comme les parents de Sam Witwicky interprété par Kevin Dunn et Julie White. Les deux acteurs possède un talent évident mais le scénario ne permet pas de les exploiter, l'intrigue les faisant plus passer pour des clowns de services que pour des parents. Dans les nouveaux venus, Ramon Rodriguez m'as bien fait rire. Je sais pas si je me souviendrais de cet acteur (car à ses côtés Shia LaBeouf apparait plus charismatique tout de même) mais j'ai trouvé qu'il s'en sortait bien dans ce rôle de geek courageux mais pas téméraire. Possédant le rôle du boulet de service, il va quand même un peu évolué au fil du film et sauver les meubles avec son personnage qui pourtant ne l'aide pas. En revanche Isabel Lucas (avec son personnage mélangeant un TX avec la mutante) ne peut rien faire. Seul sa plastique est mise en avant, son jeu d'actrice devenant alors totalement transparent au point qu'on à l'impression qu'elle sors tout droit d'un teen movie. Du côté des robots, les vrais stars du film, les doublages dans la version originale de Hugo Weaving et Peter Cullen sont toujours un véritable bonheur. Bien que remixés pour leur donner un ton plus mécanique, les deux acteurs possèdent un timbre de voix charismatique qui colle parfaitement avec leurs rôles respectifs.
Pour la mise en scène on va pas se leurrer, Michael Bay fait du Michael Bay. On ne peut pas dire qu'il innove dans sa façon de filmer avec des plans que l'on peut retrouver dans bons nombres de ses différents films mais après tout c'est pas plus mal car même si l'originalité n'est pas présente ici, le résultat final reste là. On tient notre mise en scène énergique où tout explose et où les images défilent sous nos yeux à une vitesse impressionnante. Nous faisans voir du pays, le réalisateur exploite d'ailleurs plutôt bien les décors qui sont mis à sa dispositions et même si sa facheuse tendance à tout démolir prend vite le dessus, les décors egyptiens par exemple sont bien mis en valeur. Sa caméra bouge dans tout les sens mais ça reste agréable à voir, on es pas pris de maux de cœur comme pour un film tel "Cloverfield" (je cite cet exemple volontairement car le film y fait un ou deux clins d'œils ;-) ). Le seul véritable hic vient surtout des effets spéciaux. Je ne vais pas critiqué la qualité de ceux ci car je serais de mauvaise foi (sauf peut être pour un ou deux éclairs vers la fin que j'ai trouvé risible à côté du reste). Les effets spéciaux sont maitrisés et ont sens qu'une grosse partie du budget est parti dans ses différents effets visuels, le problème c'est qu'à force de vouloir trop en mettre, l'action devient par moment illisible. Dans le premier volet déjà ça le faisais un peu mais je trouvais que c'était quand même compréhensible mais dans cette suite, de nombreuses scènes deviennent brouillonne à cause de tout ses éléments. Les couleurs sont mélangés, certains robots sont composés de plusieurs parties différentes et du coup, il y à des scènes on ne sais plus tout ce qui se passe seul l'issu d'un combat nous montrant qui à eu le dessus. Certes, c'est bourrin mais cette lecture épileptique des combats gâchent les scènes d'action parfois malheureusement. La bande originale du film composée par Steve Jablonsky reste en tout cas dans la même lignée que le précédent opus avec des choix musicaux approprié même si il y à une exagération dans les sons mécaniques de temps en temps. J'ai quand même était très content de retrouver un nouveau titre de Linkin Park dans la bande son qui s'intègre parfaitement au film.
Au final, "Transformers 2 : La revanche" (il se sont pas foulés pour le titre français) est un divertissement estival comme je m'y attendais. Il faut pas être trop regardant sur le scénario le film étant juste là pour nous en mettre plein la vue à grands coups d'effets spéciaux. Je suis quand même un peu déçu car même sans être regardant sur l'intrigue, j'ai trouvé que le premier volet était vachement plus fun et moins brouillon. Le film se laisse quand même regarder mais j'ai une nette préférence pour le premier film qui maitrisé mieux son sujet à mes yeux. D'ailleurs, un troisième opus serait en préparation à l'heure où j'écris ses lignes et au vue des libertés prises vis à vis de son support original par cette suite, je reste sceptique mais bon, je ne boude pas mon plaisir pour autant. J'ai pas eu besoin de mes neurones pour voir ce film, je voulais de l'action, des explosions, des effets spéciaux... j'en ai eu mais pour un blockbuster signé Michael Bay, je m'attendais à quelque chose de quand même plus maitrisé. Par contre, petit conseil mais là encore ça n'engage que moi, regardez si possible et si cela ne vous dérange pas le film en version originale car le doublage français est loin d'être à la hauteur à mes yeux et risque de gâcher encore plus le film.


Bonus :

Tout comme dans le premier opus, le groupe Linkin Park (dont je suis assez friand) signe une chanson pour la bande originale de "Transformers 2 : La revanche". Voici donc les paroles de leur chanson "New Divide" :
I remember black skies
The lightning all around me
I remembered each flash
As time began to blur
Like a startling sign
That fate had finally found me
And your voice was all I heard
That I get what I deserve
So give me reason
To prove me wrong
To wash this memory clean
Let the thoughts cross
The distance in your eyes
Give me reason
To fill this hole
Connect the space between
Let it fill up to reach the truth and lies
Across this new divide
There was nothing inside
The memories left abandoned
There was nowhere to hide
The ashes fell like snow
And the ground caved in
Between where we were standing
And your voice was all I heard
That I get what I deserve
So give me reason
To prove me wrong
To wash this memory clean
Let the thoughts cross
The distance in your eyes
Across this new divide
And every loss and every lie
And every truth that you deny
And each regret and each goodbye
Was a mistake too great to hide
And your voice was all I heard
But I get what I deserve
So give me reason
To prove me wrong
To wash this memory clean
Let the thoughts cross
The distance in your eyes
Give me reason
To fill this hole
Connect the space between
Let it fill up to reach the truth and lies
Across this new divide
Across this new divide
Across this new divide