Le film s'ouvre sur le fameux complet d'une chanson connue Ca ira ! et hop, nous passons à la décapitation de Marie-Antoinette ; dans la foule, on découvre un certain Napoléon... Voici le début de l'histoire, et c'est sans compter sur l'inexatitude des propos historiques car Napoléon enfonce des portes ouvertes à tout-va. C'est bien simple, le film s'attache à narrer tout le côté militaire de l'homme et oublie qu'avant d'être un tyran sanguinaire, c'était un homme sentimental (rapppelons la relation épistolaire avec Joséphine) et administratif (le Code Civil, c'est lui et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres). 

Et bien sûr qu'il est casse-gueule de faire un long-métrage sur la vie de Napoléon - beaucoup de réalisateurs autres que Ridley Scott n'y sont pas arrivés - et ceci, en seulement deux petites heures et demie. Alors, c'est sûr, nous attendons  la version longue et en DVD s'il vous plaît (je n'ai pas Apple TV, merci) ; pour nous plonger dans cette histoire grandioquente de quatre heures.

En bref, Napoléon mérite tout de même d'être vu mais sérieux sans rire, j'ai largement préféré la version télévisée avec Clavier ! C'est dire !

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